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Par Dominique Moret - Ingénieur bioélectronicien géobiologue et inventeur

La découverte de la « mémoire cellulaire » par les chercheurs actuels se heurte à un problème de taille : elle semble ne pas être là où on la cherche...

La localisation au sein de la cellule ne semble pas être accréditée par les divers faits jusqu’ici rencontrés. Une fois de plus une approche nouvelle est nécessaire. Le corps ainsi que la cellule sont composés de 70 à 75% d’eau. Nous savons aujourd’hui que l’eau possède une mémoire utilisable par l’homéopathie, les travaux de Jacques Benveniste, scientifique français, ne sont plus à mettre en doute. Ses protocoles et ses expérimentations l’ont suffisamment démontré. Nous avons donc un liquide (l’eau) présent partout dans le corps et capable d’un effet mémoire.

Reprenons un mode de fonctionnement bien connu dans le cerveau : le phénomène de la boucle réentrante de traitement de l’information du neurone, à la fois nécessaire pour traiter mais aussi pour mémoriser l’information. Une fois entrée dans la boucle, toute information y reste, piégée indéfiniment. Les neurones sont donc des structures spécialisées non seulement pour le traitement de l’information mais aussi pour son archivage.

La nature qui a horreur de faire compliqué là où elle peut faire simple (contrairement aux humains), utilise le même phénomène au sein de la cellule pour adapter le corps humain aux contraintes externes et par un mode d’action similaire un résultat similaire. La vie n’étant qu’une perpétuelle adaptation aux conditions de l’environnement, il est nécessaire d’avoir une mémoire cellulaire susceptible de permettre cette adaptabilité. La cellule reçoit donc en permanence des informations par le biais de clusters *1. Les informations, contenues dans ces structures, pénètrent la membrane cellulaire, par le biais des canaux ioniques, pour être « digérées » par la cellule, puis rejetées à l’extérieur, tout en restant dans l’environnement immédiat de la cellule.

Il se crée ainsi une boucle rétroactive où l’information traitée reste indéfiniment dans la boucle, participant ainsi au mode de réaction futur de la cellule qui tiendra compte à tout jamais de cette nouvelle information, et aussi de toutes les autres qui l’ont précédé.

C’est dans cette mémoire que nous allons trouver, tout à la fois, les allergies, les maladies auto-immunes et les processus dégénératifs. Plusieurs approches utilisant la mémoire de l’eau pour ré-informer la cellule semblent indiquer qu’il en est bien ainsi. Je citerai les systèmes MORA®*2, IMED®*3, ISEND®*4. Ces trois systèmes utilisent les ondes électromagnétiques pour capter les informations cellulaires par le biais de liquides physiologiques, et après traitement du signal, ré-informent l’eau avec une correction opérant un effacement de certaines allergies ainsi que de quelques maladies auto-immunes. Ces procédés bien qu’incomplets puisque n’ayant pas 100% de réussite, ont quand même le mérite d’exister. Il est vrai que la démarche est très peu connue et ne fait l’objet d’aucune déclaration, ni publication. Lorsque des intérêts économiques sont en jeu il est très facile d’oublier certaines découvertes... Pour ce qui est de l’oubli, de multiples exemples ne manquent pas...

Nous aurons dans les articles suivants (quelque cinq autres articles prévus) plus de détails sur ce mode de fonctionnement et également plusieurs propositions novatrices sur le fonctionnement du corps. Vous aurez ainsi une visite guidée sur le fonctionnement homéopathique du corps, une présentation de l’hypothèse électromagnétique du SIDA, de la mémoire cellulaire au chant des protéines de Sternheimer ou la vieillesse expliquée, la différenciation cellulaire chez l’embryon.

Vous serez ainsi en possession d’une vue plus complète sur le modèle de la vie. Désolé pour les impatients, permettez-nous de vous tenir en haleine, la suite au prochain numéro.

*1 Structure cristalline présente dans l’eau et composée de macromolécules d’eau contenant des informations, macromolécules obtenues par la liaison hydrogène très labile, ces informations pénétrant la membrane cellulaire par le biais des canaux ioniques sont « digérées ».

*2 Système créé en 1977, Mora étant la contraction de Docteur Franz Morell et Erich Rasche ingénieur en électronique.

*3 Système inventé par un chercheur français du sud de la France, désolé de n’avoir plus de précisions.

*4 Système créé par votre serviteur et faisant l’objet d’un dépôt de brevet, primé au Lépine 2001, coupe de la chambre permanente des métiers.

Ces appareils modifient le terrain par une approche Bio-Électronique et ne peuvent donc se substituer à tout autre traitement médical

Memoire cellulaire
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La mémoire cellulaire