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Par Dominique Moret - ingénieur bio-électronicien géobiologue inventeur

Le virus du SIDA ne peut s’expliquer sans une approche totalement différente de toutes celles tentées à ce jour. Nous allons tout d’abord retracer les évènements dans leur ordre chronologique. L’histoire commence il y a quelques dizaines d’années en Afrique. Est-ce un virus mutant mis au point par les Américains comme certains le prétendent, cela semble peu vraisemblable. Je vous renvoi aux articles sur le fonctionnement homéopathique du corps qui donnent plus de détail quant au mode de fonctionnement du corps d’un être vivant doté d’un cœur. Mais pour ceux qui ont loupé les épisodes nous allons en faire un résumé. C’est une hypothèse complète explicitant le phénomène de la vieillesse, le fonctionnement homéopathique du corps et la mémoire cellulaire. En gros et rapidement la cellule est dotée d’une mémoire qui est l’eau extracellulaire. Cette mémoire qui est aussi celle de l’eau, se présente sous la forme de clusters(1) ou agglomérats moléculaires liés par la liaison hydrogène très labile. Ces clusters auraient la forme d’une structure cristalline contenant tout un lot d’informations capables de piloter la production de telle ou telle protéine, mais aussi de piloter les actions du système immunitaire. C’est le point le plus important de la démonstration.

Donc nous reprenons notre singe qui vit en Afrique et chez qui pour la première fois le virus est apparu. Il est infecté par un virus mutant fabriqué ou non peu importe. Son organisme fabrique aussitôt les clusters pour activer le système immunitaire et le cibler sur l’intrus. Son code génétique est très proche de l’être humain (98% de similitude). Le décor est planté, cependant il nous manque un personnage, un être humain. Donc un être humain qui passait par-là se fait mordre par le singe par le plus malheureux des hasards. Dans la salive du singe se trouvent les clusters de commande du système immunitaire du singe, ils passent ainsi dans le système sanguin de l’être humain. Ces clusters rencontrent toutes les conditions pour se multiplier en passant dans le cœur ou les structures sont cassées et chaque partie a la possibilité de reconstruire l’ensemble du cluster, comme en homéopathie ou l’on secoue l’eau pour dynamiser /multiplier l’information. Ces clusters s’ils rencontrent les conditions Bioélectroniques au sein du corps pour se multiplier, vont pouvoir ainsi agir sur le système immunitaire. Malheureusement pour l’être humain porteur de ces clusters, il contient une information de commande d’activation du système immunitaire du singe dont le code génétique est très proche de celui de l’être humain, mais pas tout à fait le même. Cette différence va amener une interprétation différente du système immunitaire humain, qui va progressivement se mettre en sommeil. Cet état va provoquer à terme plus ou moins long selon la capacité de résistance de l’individu et le terrain bioélectronique la mort par une maladie bénigne comme une infection ou autre mais non par le virus du SIDA. Ainsi le SIDA ne serait pas un virus. L’image qui nous en est fournie est une image de synthèse. Quant aux tests de dépistages du virus, il faut remettre dans le contexte. Deux laboratoires, un américain, un français, se livraient à une course contre la montre pour déposer des brevets et valider des tests de dépistage de ce virus. Maintenant on sait que ces tests n’auraient pas la validité qu’on est en droit d’attendre. Il est arrivé déjà plusieurs fois que les deux tests soient positifs alors que les personnes testées suivaient un traitement pour une toute autre maladie. Une fois le traitement arrêté car étant guéries, les deux tests sont effectués et donnent maintenant un résultat négatif. La validité des tests serait donc sujette à caution, ils ne permettraient que de déceler un état physiologique particulier. Ces clusters seraient indécelables avec les moyens classiques d’investigation. Quant à sa propagation, elle est plus compréhensible vue sous cet angle. Ce cluster ne peut se propager que de liquide à liquide circulant, c’est-à-dire salive, sperme, sécrétions vaginales etc... vers sang ou lymphe.

Ce cluster peut-être détruit par évaporation de l’eau du liquide le contenant, par un champ magnétique basse fréquence, par un échauffement à plus de 70° ou une exposition à des hyperfréquences cassant les fragiles liaisons hydrogènes de l’eau, la base du cluster. Mais on ne peut exposer le corps humain à ces divers moyens de destruction sans danger pour le porteur.

Une approche faisant intervenir la ré-information cellulaire par le biais de l’eau informée, donc contenant des clusters capables d’effacer les effets des clusters du SIDA, serait la bonne voie. Permettant une modification progressive du terrain ainsi qu’une destruction progressive des clusters concernés. Quelques systèmes agissent sur ce plan et ont déjà fait l’objet d’une communication dans des articles précédents (voir La vieillesse expliquée, Le fonctionnement homéopathique des êtres vivants, Phénomènes géobiologiques et ondes électromagnétiques). Leur mode d’action offrirait ainsi une possibilité et une voie de recherche intéressante pour la science, qui a trop longtemps négligé ces approches dites alternatives. Et pour nous l’alternative est simple soit nous considérons maintenant ces phénomènes comme réels soit nous nous fourvoyons dans des voies de recherches sans issues.

(1) Les clusters sont des structures cristallines de l’eau, ou agglomérats moléculaires formés par la liaison hydrogène, dont la forme et la taille varient selon l’information véhiculée. Ces structures sont mises en évidence par les travaux du docteur Masaru Emoto dont le livre "Le message de l’eau” offre au lecteur des images très révélatrices sur les structures cristallines de l’eau. Ces structures composées de macromolécules d’eau contenant des informations pénètrent la membrane cellulaire probablement par le biais des canaux ioniques et sont « digérées ». L’eau structurée ne serait rien d’autre que ces structures.

Hypothese sur le virus du Sida
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Hypothèse sur le virus du SIDA

Ces appareils modifient le terrain par une approche Bio-Électronique et ne peuvent donc se substituer à tout autre traitement médical